Garde Imperiale Chasseur a-cheval 1804
Les chasseurs à cheval de la Garde impériale sont une unité de cavalerie légère de la Garde impériale. Elle prend pendant les Cent-Jours la dénomination de 1er régiment de chasseurs à cheval de la Garde impériale.
Le régiment appartient à la Vieille Garde et est formé sous le Consulat sous le nom de guides de la Garde des consuls. Il fournissait ordinairement l’escadron de service auprès de l’Empereur, assurant son escorte lors des déplacements et sur le champ de bataille. Les chasseurs de la Garde eurent l’occasion de sauver l’Empereur lors d’attaques (ainsi à la veille d’Austerlitz). Ils étaient parmi les préférés de Napoléon1, et à cheval l’Empereur portait souvent l’uniforme vert de colonel de ce régiment (souvent caché par sa célèbre redingote grise), le porta pendant sa captivité à Sainte-Hélène et fut mis en bière dans cet uniforme. C’était l’un des régiments les plus prestigieux de la Garde. Il leur arriva aussi de combattre, ainsi que le reste de la Garde, au cœur des batailles et ils se distinguèrent notamment lors des batailles d’Austerlitz et d’Eylau, conduits par le maréchal Bessières.
Par décret du 6 mars 1813, le régiment des chasseurs à cheval est porté de cinq à neuf escadrons, les 1er, 2e, 3e, 4e et 5e conservant seuls la dénomination de Vieille Garde. Les 6e, 7e, 8e et 9e escadrons forment les chasseurs à cheval de la Jeune Garde, prenant pendant les Cent-Jours la dénomination de 2e régiment de chasseurs de la Garde impériale.
Les origines
En 1800, il existait une compagnie des chasseurs à cheval au sein de la Garde des Consuls, elle-même issue de la compagnie des guides à cheval de Bonaparte4, créée pendant la campagne d’Italie5. Cette filiation ancienne explique l’attachement et le dévouement de ces vétérans à la personne de l’Empereur. La compagnie sert notamment à la bataille de Marengo, où la Garde consulaire couvre la retraite de l’armée française lorsque la bataille paraît perdue, avant l’arrivée de Desaix.
Los Cazadores de Caballos de la Guardia Imperial son una unidad de caballería ligera de la Guardia Imperial. Lleva durante los Cien Días la denominación de 1er regimiento de cazadores a caballo de la Guardia Imperial.
El regimiento pertenece a la Guardia Antigua y se forma bajo el Consulado con el nombre de Guías de la Guardia de los Cónsules. Normalmente estaba el escuadrón a servicio al Emperador, asegurando su escolta en el camino y en el campo de batalla. Los cazadores de la Guardia tuvieron la oportunidad de salvar al Emperador durante los ataques (por lo tanto, en la víspera de Austerlitz). Estaban entre los favoritos de Napoleón y, a caballo, el emperador a menudo vestía el uniforme verde del Coronel de este regimiento (a menudo oculto por su famoso levita), lo usaba durante su cautiverio en Santa Elena . Este uniforme fue uno de los regimientos más prestigiosos de la Guardia. También lucharon, al igual que el resto de la Guardia, en el corazón de las batallas y se distinguieron en particular durante las batallas de Austerlitz y Eylau, dirigidas por el Mariscal Bessières.
Por decreto del 6 de marzo de 1813, el regimiento de cazadores a caballo se incrementa de cinco a nueve escuadrones, el primero, segundo, tercero, cuarto y quinto manteniendo solo el nombre de Guardia Vieja. Los 6º, 7º, 8º y 9º Estos escuadrones formaron los cazadores montados de la Guardia Joven, tomando el nombre de 2º Regimiento de Cazadores de la Guardia Imperial durante los Cien Días.
Los orígenes
En 1800, hubo una compañía de cazadores de caballos en la Garde des Consuls, de la compañía de guías de caballos Bonaparte, creada durante la campaña de Italia. Esta antigua filiación explica el apego y la dedicación de estos veteranos a la persona del Emperador. La compañía sirve en particular en la batalla de Marengo, donde la Guardia Consular cubre la retirada del ejército francés cuando la batalla parece perdida, antes de la llegada de Desaix.